World Strate Center
World Strate Center il y a dix ans, le 11 septembre 2001
Bush, le menteur, était à court d’arguments probants pour entrainer les alliés à la guerre contre Al Qaïda et Sadat Hussain L’attentat contre les tours jumelles de Manhattan, symbole du paroxysme américain, était bien venue à ses ambitions de fils insignifiant, d’un père magnat du pétrole. Il pouvait repartir là où son père s’était arrêté, lors de la guerre du Golf, pour se faire valoir.
Il a échoué sur les deux plans. Face aux trois mille morts de l’attentat, il peut enregistrer 300.000 morts sur ses deux terrains de luttes, celui de l’Irak et celui de l’Afghanistan. Cent pour un, c’est un bon score qui rappelle un certain principe nazi. Et ce n’est pas fini. Son successeur, porteur d’un prix Nobel pour la paix, continu la busherie.
Il parait, qu’ayant été informé à plusieurs reprises, de plusieurs cotés, d’un attentat éminent sur le territoire américain, notamment sur les tours jumelles, après une première tentative par véhicule piégée, Bush aurait fait la sourde oreille, se disant peut être Ben Laden zigouillé, ne change rien à la situation sur le terrain. La où un meneur de la gueria tombe, un autre prend la place. Les forces alliées en Afghanistan s’enlisent de plus en plus. La force de frappe américaine devient de plus en plus téléguidée. Ceci démontre bien qu’ils n’osent plus sortir sur le terrain et qu’à court ou moyen terme, ils seront obligés de fuir comme les Russes.
En Irak c’est la même chose. Étant des occupants, ils sont voués à court ou moyen terme, à fuir pour ne pas être massacrés dans un soulèvement islamiste.
Alors, Mr Obama, Prix Noble pour la paix ! quel est votre rêve ?
Le 23.10.2011, Obama proclame le retrait des troupes stationnées en Irak. Le dernier soldat américain devrait être retiré avant Noël. La présence américaine en Irak aura coûté un milliard de dollars par jour, pour engendrer des milliers de morts.
Après une guerre d’obstination aveugle de la part de l’Amérique qui n’a fait qu’accentuer la déstabilisation de la région, suivra un chaos dévastateur dans cette région pire que du temps de Sadat Husain.
